MON ACCUEIL & MA POSTURE
C’est déjà un rendez-vous pour vous-même et ce n’est pas chose facile de faire le premier pas !
C’est avant tout une rencontre entre 2 personnes, vous et moi, dans un lieu où vous déposez une part de vous-même avec l’assurance d’un cadre professionnel et des repères structurants.
Mon accueil se veut simple et rassurant. Soucieuse de votre confort et de votre bien-être, j’attache beaucoup d’importance à l’accueil où vous trouverez une attention bienveillante.
Déjà, le cabinet est spacieux et agréable, sans artifice particulier (encens, bougie, musique) pour pratiquer les séances. Vous êtes reçus dans un lieu neutre où chacun puisse se retrouver.
Je pratique la sophrologie en position assise et/ou debout. Des chaises confortables mais qui n’invitent pas à «l’endormissement » sont à disposition. Cependant, des personnes étant très douloureuses de par leurs pathologies, des fauteuils plus souples et des coussins sont proposés.
Je ne valorise pas une hiérarchie et je privilégie une relation de personne-personne (sujet-sujet) et non de professionnel-personne (« maitre-sujet » comme on l’entend médecin-patient ; enseignant-élève) et vous ne me trouverez pas assise sur un gros fauteuil derrière mon bureau, ma posture éthique. Déjà parce que nous ne sommes pas en psychanalyse et particulièrement parce que je ne suis pas dans une relation de savoir plus que vous.
Chaque personne est unique et je vous garantis un regard individualisé, sans jugement, où je considère la personne avec ses besoins, ses envies, ses pensées ou encore son éducation. J’adapte ma posture et mes outils à vos capacités, vos besoins et votre rythme.
Lors de ce premier rendez-vous, formée à l’écoute active, je vous aide à exprimer ce qui vous amène à venir. Mais c’est aussi votre espace de liberté et je vous laisse dire les choses dans la libre expression. C’est aussi l’occasion de me poser des questions.
Vous venez en séance de sophrologie et non en consultation. Vous êtes client et non patient. Bien que je sois licenciée en psychologie, il y a mon cadre et mes limites, je ne suis pas psychologue : « Ainsi « Tout ce qui est du champ de la thérapie concerne le métier de thérapeute, hormis la formation spécifique longue de sophro-thérapeute. Le Sophrologue qui n’est pas médecin, psychologue, psychanalyste, psychothérapeute… s’inscrit dans le champ éducatif pédagogique et non thérapeutique. » Syndicat des Sophrologues Professionnels.
J’assure la discrétion et le secret de confidentialité dans les limites du code de déontologie des sophrologues.
